Emilie Arnoux est artiste-peintre. Ses grands formats, peints à l’huile, mêlant le POP, la Beach culture et le surf Art, captent par leur énergie positive contagieuse et leurs couleurs hypnotiques multiples.

Émilie a grandi sur la plage et s’est construit très tôt un univers mélangeant sa passion pour les sports nautiques, sa vie heureuse à la plage, sa fascination pour l’Amérique de l’âge d’or des années 50-60 et l’art des affiches de la même époque. Les couvertures vintage du Saturday Evening Post, les pin-up de Gil Elvgreen et les illustrations de Norman Rockwell nourrissent son futur style.

À 10 ans déjà, elle commence à collectionner les impressions anciennes des publicités et le dessin occupe toutes ses heures de loisir, en semaine tout comme les week ends ou les vacances. A 13 ans, elle peint sa première toile à l’huile. A 16 ans elle suit les cours du soir des Beaux-Arts et, l'année suivante, elle entreprend des études d’Art graphiques et architecture dans l’idée de se diriger vers la scénographie ou l’illustration.
 

Dès ses études finies, elle retourne vivre en bord de mer et décide définitivement que la peinture sera sa vie. Son style est remarqué et on lui propose très rapidement une exposition personnelle, elle n’a alors peint que quatre tableaux et doit créer entièrement l’exposition ! En 2012, elle est présentée comme peintre nautique de l’année par le Salon Nautique de Paris. Dès lors, ses œuvres originales commencent à s'exporter vers le monde entier : États-unis, Europe, Europe du Nord, Cathares, Amérique du Sud, Afrique...

Les tableaux d’Emilie sont une invitation au voyage, à la nostalgie de l’enfance et l’émerveillement du rêve californien. Ils vous embarquent comme un road movie : fermez les yeux, vous sentirez bientôt le vent chaud caresser vos paupières…
 

Elle expose aujourd’hui à New York et dans les grands « Shows » d’art contemporains, à travers les États Unis et l’Europe. Son œuvre ne cesse de s’enrichir de ses voyages sur les routes de l’Ouest américain, de la Californie à Key West en passant par Hawaii.

"J'ai grandi à la plage, et déjà toute petite, je goûtais à ces moments où, allongée sur ma serviette de plage, la somnolence m'envahissant, j'ouvrais les yeux à mi-chemin sur des scènes saturées de lumière au milieu. C'était toujours pour moi, et c'est toujours, une magie secondaire, comme un instantané à l'intérieur de moi qui fixe ces images intimes de bonheurs vivants, des moments de grâce et de liberté, puis les transforme."